Fanny Layani consacre sa thèse à l’étude de la détention politique des militants de l’indépendance algérienne entre 1954 et 1962, une période charnière marquée par des luttes intenses pour l’autodétermination et la liberté.
Elle analyse le rôle des prisons de Fresnes dans ce système répressif, où des milliers de militants ont été enfermés dans des conditions souvent inhumaines, et explore la valeur inestimable de leurs archives, qui constituent un témoignage crucial sur les abus de pouvoir et les stratégies de résistance mises en place.
En scrutant ces documents, Fanny Layani révèle les histoires poignantes de ces individus, leurs souffrances mais aussi leur résilience, éclairant ainsi le parcours complexe de la mémoire collective algérienne.
Cette thèse s’inscrit dans une démarche de préservation de la mémoire historique et de mise en lumière des luttes oubliées, offrant une contribution significative aux études sur le colonialisme et les droits humains.
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