En tant que fonctionnaire, l’idée de lancer sa micro-entreprise peut sembler complexe, voire impossible, face aux règles de cumul d’activités. Pourtant, il existe des spécificités méconnues qui ouvrent des portes !
Aujourd’hui, je voulais éclairer un point crucial, notamment pour tous ceux qui, comme moi, ont une âme créative : la dérogation pour la production d’œuvres de l’esprit.
Si votre projet d’auto-entreprise concerne la création artistique ou intellectuelle (photographie, vidéo, montage, création de sites web, etc.), la bonne nouvelle est que ces activités peuvent souvent être exercées librement, sans les mêmes contraintes de durée ou d’autorisation que d’autres types de cumuls. C’est une opportunité fantastique !
Mon cas personnel : En tant que graphiste photographe au sein d’une collectivité territoriale, j’ai récemment entrepris de créer ma micro-entreprise pour des activités de prises de vues, montage vidéo, création de sites internet. Mon employeur a été informé pour assurer une transparence totale et valider que ces activités relèvent bien de cette dérogation.
Pourquoi est-ce important de le savoir ? Cela permet aux fonctionnaires de développer leurs passions et compétences en dehors de leur emploi principal, contribuant ainsi à l’économie créative et au dynamisme entrepreneurial, tout en respectant le cadre légal. C’est un véritable atout pour l’épanouissement professionnel et personnel !
Un conseil crucial : Même si la dérogation semble s’appliquer, la clé est la transparence ! Informez toujours votre administration (RH, référent déontologue) de votre projet. C’est la meilleure façon de sécuriser votre démarche et d’exercer votre activité en toute sérénité.